Une innovation scientifique majeure pour le territoire, au service d’une lutte commune contre le cancer (Registre Thyroïde de l’Institut).

L’innovation scientifique est par ailleurs l’un des principaux axes qui structurent les grands programmes de l’Institut Jean Godinot. C’est en 1975 qu’est mis en place le Registre Marne-Ardennes des cancers de la thyroïde au sein de l’unité Thyroïde de l’Institut.

Il est alors possible de recenser et d’enregistrer en continu tous les cancers de la thyroïde diagnostiqués chez des patients des départements de la Marne et des Ardennes. Les conséquences sont nombreuses et hautement bénéfiques. La surveillance des cancers et les études menées sur certains de leurs aspects permettent en effet une meilleure connaissance de la maladie et de son évolution, améliorant ainsi la qualité de prise en charge.

Il n’est d’ailleurs pas anodin que la mise en place du « Registre Thyroïde » ait été saluée par la plus haute note au classement du Comité d’Évaluation des Registres, et qu’en qualité de membre du réseau Français des registres du cancer (FRANCIM), il puisse tenir un rôle clé dans les différentes estimations départementales, régionales et nationales. 

 

L’innovation scientifique est par ailleurs l’un des principaux axes qui structurent les grands programmes de l’Institut Jean Godinot. C’est en 1975 qu’est mis en place le Registre Marne-Ardennes des cancers de la thyroïde au sein de l’unité Thyroïde de l’Institut.

Il est alors possible de recenser et d’enregistrer en continu tous les cancers de la thyroïde diagnostiqués chez des patients des départements de la Marne et des Ardennes. Les conséquences sont nombreuses et hautement bénéfiques. La surveillance des cancers et les études menées sur certains de leurs aspects permettent en effet une meilleure connaissance de la maladie et de son évolution, améliorant ainsi la qualité de prise en charge.

Il n’est d’ailleurs pas anodin que la mise en place du « Registre Thyroïde » ait été saluée par la plus haute note au classement du Comité d’Évaluation des Registres, et qu’en qualité de membre du réseau Français des registres du cancer (FRANCIM), il puisse tenir un rôle clé dans les différentes estimations départementales, régionales et nationales. 

 

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